Société britannienne: hiérarchie et vie

Les Nobles sont position la plus haute de Britannia. Ils jouissent d'un pouvoir absolu sur tous ceux ne possédant pas de titre de noblesse, Britanniens ou pas, et ne peuvent être surpassés que par d'autres nobles de position plus élevée (voir hiérarchie ci-dessous). En outre, tous les nobles sont extrêmement riches et ont une richesse bien plus conséquente que la plupart des Britanniens honoraires et Britanniens natifs. Le métier exercé ou la position n'est évidemment pas nécessairement héréditaire (un noble enfant de médecins ne peut devenir médecin que via des études alors qu’un enfant de propriétaire d’une entreprise peut-être « formé chez papa et maman »), cependant, un titre de noblesse ne se perd pas et le gouvernement britannien veille à ce que ses nobles soient choyés et paient des tribus à ces mêmes nobles (tribus différents selon le titre).  

Peut-on hériter d’un titre de noblesse autrement que de naissance ?
L’on peut devenir noble par mariage ou par anoblissement fait par un membre de la famille royale, mais ce genre d’ascension n’est généralement pas apprécié des « nobles de sang », aucun autre moyen n’est connu à ce jour.

Titres du plus au moins important :
Grand-Duc
Duc
Marquis
Margrave (chef militaire, descendants héritent du titre de Marquis automatiquement)
Comte
Vicomte
Baron

Titres particuliers  (ces titres ne se transmettent pas aux descendants) :
Chevalier : Chevalier est le titre le plus bas dans la noblesse qui peut être atteint par un service à l'Empire. Comme il s’agit du rang le plus bas dans la noblesse britannienne, un roturier peut atteindre ce statut et devenir un noble non héréditaire. En devenant chevalier, l’on hérite d’une place spéciale dans la noblesse, habituellement comme un garde du corps d'un aristocrate de haut rang.
Chevalier d’honneur : les Chevaliers d’honneur sont des gardes du corps personnels recrutés par une princesse ou un prince de la famille impériale. Comme les Chevaliers, leur titre n’est pas héréditaire. Les Chevaliers d’honneur ont un rang de noblesse plus élevé que les Chevaliers simples.

La société Britannienne se divise en trois grandes catégories : la Noblesse (familles proches du trône, ceux travaillant dans l’administratif, ceux possédant des entreprises, ceux occupants des postes hautement placés tels que les chercheurs, les chefs militaires, etc), la Bourgeoisie (occupent des postes tels que médecins, avocats, banquiers mais ne possèdent aucun titre de noblesse) et le petit peuple (employés, personnes ne possédant pas de fortune, sans emplois, servants, citoyens honoraires ne faisant pas partie de l’armée).  Contrairement aux chiffres que l’on a connus aux Moyen-Age de notre monde, la noblesse représente un pourcentage de la population bien plus conséquent mais le petit-peuple et les bourgeois demeurent majoritaires. 5% de nobles, 65% de petit peuple et 30% de bourgeois.

Que sont des britanniens honoraires?
Il est possible de jouir des mêmes droits que les Britanniens « normaux » en prêtant allégeance à l’Empire de Britannia, ceux prêtant allégeance sont alors appelés Citoyens honoraires Britanniens. Malheureusement, posséder les mêmes droits ne protège pas de l’inégalité et du racisme. De plus, certaines professions sont inaccessibles et les Britanniens d’honneur n’ont de toute façon pas les qualifications requises pour exercer la plupart des professions les mieux payées (médecine, science, technologie, pilotage de Knightmare, droit, etc.) Ainsi, les citoyens honoraires demeurent des sous-citoyens et son souvent considérés comme traitres par les Elevens refusant de prêter allégeance.

Qui sont les mêlés?
Les « mêlés » sont issus de l’union entre un/e britannien/ne et un/e Eleven. Chaque mêlé doit choisir sa nationalité dès l’âge de 16 ans : avant cette période, il sera par défaut Britannien. Si le parent Eleven vit dans un ghetto et que le parent Britannien refuse de reconnaître l’enfant, ce dernier sera envoyé dans un établissement pour mêlés jusqu’à ses 16 ans. A l’âge de 16 ans, un enfant mêlé devra choisir ce qu’affiche son passeport : Britanien ou Eleven ? Sachant qu’un mêlé ne peut demander le statut d’honoraire britannien s’il choisit comme nationalité celle du parent Eleven, il devra donc aller vivre dans les ghettos s’il refuse la nationalité britannienne. Exemples de mêlés connus : Ilona Dawn-Minozaki, choisit la nationalité britannienne, exécutée en 2001 pour actes terroristes contre l’empire et usurpation de la nationalité britannienne (double vie). / Yoshi Calleen, choisit la nationalité britannienne, médecin de l’armée renommé, invité pour un dîner à la table de l’Empereur en 2005.
PS: Par défaut, le nom de famille d'un mêlé est celui du parent britannien. L’enfant perdra ce nom s’il décide d'abandonner son statut de citoyen britannien à l'âge de 16 ans.

Les mêlés dans la société britannienne.
La position des mêlés dans la société britannienne dépend bien souvent de leur choix de nationalité ; si le mêlé choisit de garder son nom britannien, alors il héritera du statut de son parent britannien. En revanche, si le mêlé choisit de garder nom et nationalité de son parent non-britannien, il lui sera impossible de revenir en arrière et de porter allégeance au gouvernement Britannien.  Un mêlé ayant choisi la nationalité britannienne est souvent sujet aux discriminations de la part de britanniens « purs », notamment de la part de certains puristes persuadés que leur existence en elle-même est traitrise et abomination. Il n’est donc pas rare que les mêlés se voient retiré leur titre de noblesse ou même leur droit d’héritage si ce dernier vexe un britannien de rang supérieur au sien. Par défaut, un britannien du petit peuple possède un rang supérieur à un mêlé du petit peuple ; cela n’est écrit dans aucune loi ou décret mais se sait.

Dans l’Empire, la mode est très influencée par le style victorien que nous connaissons, surtout chez les Nobles qui s’habillent souvent en costumes que nous appellerions « d’époque » lors d’occasion ou d’apparitions publiques. Chez les bourgeois, il y a envie de reproduire la mode des nobles mais la plupart du temps, l’on porte des vêtements aux coupes futuristes (géométrie, combinaisons, etc.) ou encore des uniformes (écoliers et travailleurs). Les écoliers se doivent de porter les mêmes uniformes, toutes écoles confondues. Voici un preview des uniformes : filles, garçons. Chez le petit peuple, l’on porte de tout mais surtout on porte du peu cher (jeans, t-shirt, matières bon marché, etc.)
Exemples de tenues et uniformes :
Uniforme militaire (hors combat)
Tenue d’une jeune Noble
Uniforme des membres de l’Ordre des Chevaliers Noirs
Uniformes puristes
L’une des robes d’Euphemia

Dans la société britannienne, les apparences jouent un rôle qui dépasse bien d’autres, au plus grand déplaisir d’un grand nombre. Ainsi, il n’est pas rare de voir un nombre conséquent de jeunes gens avoir recours à la chirurgie. Il n’est pas dit que l’apparence a une importance plus grande que l’intellect ; il faut une parfaite balance entre les deux pour faire d’une personne un citoyen britannien parfait. Il n’est donc pas étrange chez les Britanniens de se voir offrir des soins du visage ou une chirurgie complète payés par des parents soucieux de voir leur enfant devenir une élite.

Point de vue répandu sur l’obésité :
Victimes premières de discriminations, les personnes en surpoids sont bien souvent mises à l’écart dans la société britannienne. Il n’est pas facile de se faire une place lorsque l’on ne possède pas une forme corporelle « dans les normes britanniennes ». Il est également très complexe de trouver des vêtements à sa taille, des uniformes adéquats et il faudra alors investir dans un tailleur personnel. Il en va d’ailleurs de même pour les personnes de trop grande ou trop petite taille ; les « normes physiques » deviennent alors très vite un handicap pour certains.

Réactions face à l’homosexualité :
L’idylle entre deux personnes de même sexe n’est pas chose nouvelle et inconnue chez les Britanniens. Cependant, il n’existe aucun moyen pour deux personnes du même de s’unifier officiellement ; cette indifférence face à l’existence de couple homosexuels vient du fait que la société britannienne considère l’homosexualité comme inexistante. Cela signifie que leur existence doit rester cachée et qu’il sera toujours attendu d’une femme qu’elle épouse un homme et vice versa. Les mariages arrangés sont très courants.